S'autoriser...
Bien que la perte d’un enfant soit une épreuve terrible, comprendre ce qui arrive, ce qui se passe dans notre tête, notre cœur, notre corps aide parfois à traverser cette épreuve.
« La mort d’un enfant plonge les parents et les proches dans une souffrance qui peut déstabiliser, faire perdre tout repère, ébranler jusqu’au sens même de la vie et conduire à une solitude provocant une coupure de tout lien social. C’est l’identité même de la personne qui est menacée : elle en souffre physiquement, psychiquement et spirituellement, plus rien n’est comme avant ».
Cette étape de la vie nous amène à découvrir des forces, peut-être jamais utilisées auparavant. Mais il faut d'abord assumer notre souffrance et vivre nos émotions. Pleurer, en parler, s’autoriser à pleurer, se choquer, n'est pas un signe de faiblesse.
S'exprimer nous permet de nous libérer d'un poids qui facilitera le déroulement de notre nouvelle vie où …
…plus rien n’est comme avant